In jüngster Zeit ging durch die Tagesjournale die Kunde von einer neuen Erfindung, die das Fernsehen ermöglichen soll. Nicht zum ersten Male taucht diese Meldung auf, die stets mit der nothwendigen Vorsicht aufzunehmen ist; denn die Aufgabe, mittelst der Elektricität Lichtschwingungen zu übertragen, bot sich in dem Augenblicke dar, als es gelang, mittelst jener Töne zu übertragen; nun sind in dem ersten Falle die Schwierigkeiten unendlich grösser als im letzteren. Während die Telephonie nur das Problem zu lösen hatte, zeitlich aufeinanderfolgende Tonschwingungen nach entfernte Orte zu übertragen, soll durch das Teleskop eine coexistirende Vielheit von Lichtschwingungen transportirt werden. Dass ein gleichzeitiger Transport dieser Vielheit von Lichtschwingungen eine grosse Zahl von Uebertragungsmechanismen zur Voraussetzung hat, ist klar und eben deshalb unausführbar. Thatsächlich suchten alle Erfinder von Teleskopen diese Vielheit gleichzeitig hervorzurufender Eindrücke in zeitlich aufeinanderfolgende Einzeleindrücken zu zerlegen und diese physiologisch durch die Nachwirkung im Auge zu einem Gesammteindrucke zu componiren. Um aber dies zu bewirken, ist es nothwendig, die Zerlegung in einer sehr kurzen Zeit zu vollziehen; dies setzt sonach rasch und präcis sich bewegende Theile voraus, deren Construction Schwierigkeiten macht. Szczepanik nimmt die vorerwähnte Zerlegung mittelst Spiegel vor, die in beiden Apparaten, dem Empfangs- und Aufnahmeapparate, synchron sich bewegen und die das eindrin- gende Licht im Aufnahmsapparate auf einen Selenring schicken, dessen Widerstand sich ändert, so dass Inductionsströme in die Leitung entsendet werden, deren Stärke der Intensität des auffallenden Lichtes proportional ist. Diese Ströme beeinflussen einen Elektromagnet, dessen Anker in einer der Stromstärke entsprechenden Weise das von einer künstlichen Lichtquelle kommende Licht abblenden und so geschwächt auf die beweglichen Spiegel fallen lassen. Die von diesen reflectirten Strahlen geben das ursprüngliche Bild wieder, das gemäss der gegebenen Darstellung nur ein schwarzes Bild sein kann. Soll das Bild in den Farben des Originals erscheinen, dann bringt Szczepanik auf dem Anker des vom Inductionsstrome durchflossenen Magnetes ein Prisma an und filtrirt das auf den Aufnahmeapparat gelangende Licht gleichfalls durch ein solches. Wir haben hier das Telektroskop Szczepanik's zu skizziren versucht und keiner der Leser wird uns verargen können, wenn wir der Behauptung des Erfinders, einen brauchbaren Apparat geschaffen zu haben, sceptisch gegenüberstehen. Ueberdies ist Szczepanik nicht der erste, der sich an die Construction eines solchen Apparates wagte; er hat eine Reihe von Vorgängern, deren Aufzählung wir deshalb unterlassen, weil sie in der „Elektrotechnischen Zeitschrift" im Octoberhefte 1885 im Aufsatze von P. Nipkow: „Ueber den Telephotograph und das elektrische Teleskop" ziemlich vollständig verzeichnet sind.
Récemment, les quotidiens ont fait état d'une nouvelle invention qui rendrait la télévision possible. Ce rapport n'est pas publié pour la première fois et doit toujours être pris avec la prudence nécessaire ; car la tâche de transmettre des vibrations lumineuses au moyen de l'électricité s'est présentée au moment où il était possible de transmettre ces sons au moyen d'elles. Or, dans le premier cas, les difficultés sont infiniment plus grandes que dans le second. Alors que la téléphonie ne devait résoudre que le problème de la transmission de vibrations sonores temporellement successives vers des lieux éloignés, le télescope est destiné à transporter une multitude de vibrations lumineuses coexistantes. Le fait qu’un transport simultané de cette multitude de vibrations lumineuses nécessite un grand nombre de mécanismes de transmission est clair et donc impossible. En fait, tous les inventeurs de télescopes ont essayé de décomposer cette multitude d'impressions simultanées en impressions individuelles temporellement successives et de composer celles-ci physiologiquement à travers les séquelles dans l'œil pour former une impression d'ensemble. Mais pour y parvenir, il faut achever la décomposition dans un temps très court. Cela suppose donc des pièces en mouvement rapide et précis, dont la construction pose des difficultés. Szczepanik effectue la décomposition susmentionnée à l'aide de miroirs qui se déplacent de manière synchrone dans les deux appareils, l'appareil de réception et l'appareil d'enregistrement, et qui envoient la lumière pénétrante dans l'appareil d'enregistrement sur un anneau de sélénium dont la résistance change de sorte que des courants d'induction sont envoyés dans la ligne, dont la force est proportionnelle à l’intensité de la lumière incidente. Ces courants influencent un électro-aimant dont l'armature atténue la lumière provenant d'une source de lumière artificielle d'une manière correspondant à l'intensité du courant et lui permet ainsi de tomber affaiblie sur les miroirs mobiles. Les rayons réfléchis par ceux-ci reproduisent l'image originale qui, selon la représentation donnée, ne peut être qu'une image noire. Si l'image doit apparaître dans les couleurs de l'original, Szczepanik fixe un prisme à l'armature de l'aimant à travers lequel circule le courant d'induction et filtre également la lumière qui atteint l'appareil d'enregistrement à travers celui-ci. Nous avons tenté ici de dessiner le télescope de Szczepanik, et aucun lecteur ne pourra nous en vouloir si nous sommes sceptiques quant à l'affirmation de l'inventeur selon laquelle il a créé un appareil utile. D’ailleurs, Szczepanik n’est pas le premier à tenter de construire un tel appareil ; Il a un certain nombre de prédécesseurs, que nous omettons d'énumérer car ils sont répertoriés de manière assez complète dans le numéro d'octobre 1885 dans l'article de P. Nipkow : « Sur le téléphotographe et le télescope électrique ».