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Th. du MONCEL, Le téléphone, 
5ème édition, revue et corrigée par Franck-Géraldy, 
"Bibliothèque des Merveilles", 
Librairie Hachette, Paris, 1887, pp.337-338.

 

 

 Une contribution posthume du Comte Th. du Moncel

   

Nous avons déjà eu l'occasion d'évoquer le rôle du Comte Th. du Moncel, haute autorité française en matière d'électricité et de télécommunications, dans la légitimation scientifique du projet de voir à distance. Nous publions ici une courte contribution posthume. Elle apparaît dans la cinquième édition, parue trois ans après la mort du savant, de son ouvrage classique Le téléphone. 

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"Nous aurions ri autrefois..."

    

Un nouveau paragraphe concerne en effet la radiophonie (qui désigne en fait ici les travaux de Bell sur la diffusion du son par la lumière et non la téléphonie sans fil que Marconi ne révélera qu'en 1896) et la vision à distance par le biais du télégraphe.

 

Il est possible que ce paragraphe ait été ajouté par Franck-Géraldy, qui prend soin de l'édition après la mort du maître, mais elle est en conformité avec l'optimisme manifesté par celui-ci dans ses dernières contribution sur la téléphotographie (voir en particulier le chapitre "Le téléphote"  in Sur le microphone, le radiophone et le phonographe, Bibliothèque des Merveilles, Hachette, Paris, 1882).

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Une traduction non datée de cette édition en portugais a été publiée à Porto : CONDE TH. DU MONCEL, O Telephone, Versão de Ricardo d'Almeida Jorge, "Bibliotheca das Maravilhas", Magalhães & Moniz, Porto, s.d.

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